Type de texte | source |
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Titre | De constantia, libri duo |
Auteurs | Lipse, Juste |
Date de rédaction | |
Date de publication originale | 1584 |
Titre traduit | De la constance : esquels en forme de devis familier est discouru des afflictions, et principalement des publiques, et comme il faut se résoudre à les supporter |
Auteurs de la traduction | [anonyme] |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | |
Editeur moderne | |
Date de reprint | Trad. [1592], Paris, Noxia, 2000. |
, « Mala publica oppugnata. Sed ante omnia tres adfectus coërciti. Exque iis hoc capite ambitiosa quædam simulatio. Qua homines mala propria, ut publica lugent » (numéro I, 8 ) , p. 23
Ambitiosa illa verba sunt, Mouet me clades patriæ, non vera : in labris nata, non in fibris. Quod de Polo histrione nobili traditum est, cum Athenis fabulam actitaret in qua dolor repræsentandus, eum filii sui defuncti ossa et vrnam clam intulisse, et theatrum totum vero gemitu luctuque complesse : idem hic dixerim de plerisque vestrum. Comœdiam o boni luditis, et velati persona patriæ, privata vestra damna veris et spirantibus lacrimis lugetis. Mundus vniversus exercet histrioniam, ait arbiter : certe hic.
Dans :Polos, si vis me flere(Lien)
Je dirai ici de plusieurs de vos semblables, ce qui se conte de Pole, excellent comique, lequel jouant à Athènes une comédie en laquelle il fallait représenter un ennui, afin de ce faire fit apporter en cachette les os et l’urne de son fils qui était mort, et alors il emplit le théâtre de gémissements et plaintes véritables. Vous jouez ainsi la comédie et, sous le masque du personnage du pays, vous lamentez en vraies larmes pleines de soupirs vos particulières pertes.